Profiter de l'actualité pour promouvoir ses produits peut parfois être payant pour une compagnie, mais aussi lui causer bien du tort. Éric Arseneault était en ondes pour expliquer le phénomène « go woke, go broke » dans le monde du marketing.
Au micro de Martin-Thomas Côté, le professeur en actualité internationale au Cégep de Jonquière donne l'exemple de l'entreprise Bud Light qui s'est associé à une influenceuse trans-genre, Dylan Mulvaney, et qui a reçu une énorme campagne de haine pour cette collaboration.
« Anheuser-Busch, qui est la compagnie derrière Bud Light, derrière Budweiser et tout le reste, pensait, justement, faire un bon coup de pub avec ça, faire mousser ses ventes, mais c'est exactement le contraire qui s'est passé, parce que ça l'a déchainé, mais là, quand on dit déchainé, c'est à la puissance 100 000... »
D'autres compagnies, comme M&M, ont été la cible de commentaires négatifs pour s'être associé à des personnalités ou phénomènes d'actualité considérés woke par plusieurs.
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