Le centre-ville de Montréal montre enfin des signes de vitalité encourageants pour la première fois depuis la pandémie.
La demande pour les locaux commerciaux haut de gamme est telle que l'offre ne suffit plus, une situation inédite depuis 2010.
Ce regain d'activité, porté par l'achalandage des fêtes et les politiques de retour au bureau, profite directement aux restaurateurs et aux commerces de proximité.
Autres sujets abordés
La hausse marquée de la circulation de faux billets de 20 $, 50 $ et 100$ a été signalée;
L'endettement des ménages atteint des sommets. La dette représente aujourd'hui 177% du revenu disponible des Canadiens;
Pour de nombreux propriétaires, la situation est critique: 40% d'entre eux doivent emprunter pour couvrir leurs dépenses quotidiennes et 24% peinent à respecter leurs engagements financiers.
Le portrait économique actuel au Québec est teinté d'inquiétudes, tant pour les entrepreneurs que pour les locataires.
Malgré des ventes records de 20 milliards de dollars au Québec, le secteur de la restauration traverse une période historiquement sombre. Les coûts d'exploitation explosent, rognant les marges de profit jusqu'à un niveau critique de 1,2%, comparativement à 4% ou 7% autrefois.
Actuellement, 41% des restaurants au Canada sont en difficulté financière, contre environ 12% durant la pandémie.
Autre sujet abordé
La réforme du Tribunal administratif du logement (TAL) suscite également de vives critiques.
Si le gouvernement promet une simplification, Isabelle Thibault y voit plutôt une perte de transparence pour les locataires.