Canadiens 3 - Lightning 5
Au lendemain d'une défaite contre les Devils, la troupe de Martin St-Louis affronte le Lightning de Tampa Bay.
Animé par Paul Arcand
Votre revue de presse est de retour. Paul Arcand commente l’actualité dans ce balado disponible dès 6 h, du lundi au vendredi.
Paul Arcand profite de quelques jours de congé. Jusqu’à vendredi, il vous offre un condensé de quelques entrevues réalisées ces dernières semaines. La revue de presse, dans sa formule habituelle, sera de retour le lundi 17 février 2025.
Guy A. Lepage a été l’invité de Paul Arcand en début d’année, dans le cadre du balado On n’a pas tout dit, qui est animé en collaboration avec Catherine Brisson et Alain Crête.
Le quatuor discute notamment de la dixième saison d’Un gars, une fille, dont plusieurs sketchs sont inspirés de la propre vie de Guy A. Lepage.
Ce dernier revient aussi sur sa relation abimée avec Dany Turcotte, plusieurs mois après la publication de l'autobiographie intitulée D. Turcotte & fils.
Guy A. Lepage et Dany Turcotte ont travaillé ensemble pendant plus de 16 ans sur la populaire émission de Radio-Canada, avant la démission du co-animateur, surnommé le «fou du roi», le 18 février 2021.
Paul Arcand profite de quelques jours de congé. Jusqu’à vendredi, il vous offre un condensé de quelques entrevues réalisées ces dernières semaines. La revue de presse de Paul Arcand, dans sa formule habituelle, sera de retour le lundi 17 février.
En mars, ça fera cinq ans que le Québec a été frappé de plein fouet par la COVID-19. Le Dr Horacio Arruda, alors directeur national de la santé publique, a été au front pendant 22 mois pour gérer la pandémie, qui a affecté tous les pans de notre société.
Il se livre en toute franchise et sans regret à propos de ce défi professionnel incomparable. Il revient notamment sur ses déclarations marquantes et ses recommandations parfois impopulaires.
Voici quelques sujets abordés lors de l'entrevue:
À l'occasion de sa revue de presse, vendredi matin, Paul Arcand aborde les profits de la multinationale Amazon qui ont presque doublé au cours de la plus récente période des Fêtes.
Il explique que ce sont près de 20 milliards de dollars de profits qui se sont ajoutés pour l'entreprise de Jeff Bezos, qui a dépassé Walmart pour la première fois en termes de revenus trimestriels.
«Un élément clé quand on regarde la situation politique aux États-Unis, c'est le rôle de ces oligarques... Elon Musk, un rôle très actif. Jeff Bezos... vous voyez ses intérêts, alors il n'est pas très loin. Zuckerberg... tous ces gens-là se sont convertis récemment et qui ont viré vers les républicains en disant: "C'est sûr qu'il va l'emporter et qu'il va défendre nos intérêts et protéger nos monopoles".»
Entre-temps, l'animateur explique qu'une demande d'action collective a été déposée contre Amazon au Québec en raison des garanties de livraison qui ne sont pas respectées pour certains citoyens.
Autres sujets traités:
À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand commente la décision du ministère israélien de la Défense, qui a demandé à l’armée de préparer le départ volontaire des Palestiniens de la bande de Gaza.
L'État hébreu donne ainsi suite à l'idée du président américain Donald Trump qui a déclaré, mardi, souhaiter transformer Gaza en une station balnéaire tout en envoyant ses habitants en Jordanie ou en Égypte.
«Vous comprendrez que ça fait l'affaire de la droite israélienne parce que vous réglez le problème, vous faites fuir les Palestiniens, vous présentez ça comme une solution humanitaire et vous venez de prendre le contrôle d'un territoire et d'assurer la sécurité d'Israël...
«Qu'est-ce que ça veut dire aussi, cette déportation, cette ouverture vers une migration contrôlée? Ça n'arrivera pas. On le sait tous. Les Palestiniens veulent rester sur leur territoire. Ce n'est pas vrai qu'ils vont prendre la route de l'exil.»
Autres sujets abordés
À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand réagit aux propos du président américain Donald Trump qui a déclaré que les États-Unis vont prendre le contrôle de la bande de Gaza.
Aux côtés du premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, la veille, le républicain a expliqué vouloir faire de la bande de Gaza la Côte d'Azur du Proche-Orient tout en plaidant à nouveau pour le déplacement permanent des habitants du territoire palestinien.
«Une autre journée fort active pour Trump. C'est assez hallucinant [...] Il nous annonce que ce serait très agréable de faire de Gaza une espèce de station balnéaire. Il l'avait déjà dit et il l'a répété aux Palestiniens: "Prenez vos valises, ça ne sert à rien de retourner chez vous, ce sont des débris, il n'y a rien à faire, allez vous installer en Égypte, en Jordanie." Et ce, même si les deux pays ont dit ne pas vouloir recevoir ce lot de réfugiés [...] Ce n'était pas le président, mais le promoteur immobilier qui parlait.»
Autres sujets abordés
À l'occasion de sa revue de presse, mardi, Paul Arcand réagit à l'annonce du sursis d'au moins 30 jours quant à l'imposition des tarifs douaniers américains.
Le premier ministre du Canada Justin Trudeau l'a confirmé lundi en fin de journée après s'être entretenu avec le président des États-Unis, Donald Trump, une deuxième fois.
«Trump montre qu'il est capable de mettre à genou ses adversaires. Il l'a fait avec la Colombie, le Mexique et il l'a fait avec le Canada. Il arrache des concessions, ça se fait rapidement et joue très bien ses cartes. Il prépare aussi la renégociation de l'Accord de libre-échange Canada-États-Unis-Mexique.»
Autres sujets abordés
À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand revient sur la guerre commerciale entre le Canada et les États-Unis.
Dès mardi, les deux pays imposeront des tarifs douaniers de 25%.
L'animateur commente notamment l'impact de ces tarifs douaniers sur les consommateurs, autant canadiens qu'américains.
Il aborde également l'importance de l'achat local et se questionne sur la pertinence d'un boycott des produits américains, notamment à l'épicerie.
«C'est sûr que l'achat local, c'est la meilleure chose. [...] Pourquoi on ne le faisait pas avant? Pourquoi ça prend une pandémie, une guerre de tarifs, pour soudainement se dire qu'il faut s'encourager entre nous? C'est difficile parce que, ce qui motive le consommateur, c'est le prix.»
À l'occasion de sa revue de presse, vendredi, Paul Arcand fait le point sur l'enquête concernant la collision entre un hélicoptère militaire et un avion de ligne qui a fait 67 morts, mercredi soir, à Washington.
Selon le New York Times, il n'y avait qu'un seul contrôleur dans la tour de l'aéroport Reagan au moment de la tragédie, ce qui est contraire à la procédure habituelle.
Paul Arcand commente également la réaction du président Donald Trump qui, après avoir offert ses condoléances aux familles des victimes, a décidé de faire de la petite politique avec le drame.
«Trump, dans les heures qui ont suivi la collision, avait déjà tout compris [...] Il a dit que tout ça découlait des politiques de diversité et de discrimination positive de ses prédécesseurs Joe Biden et Barack Obama [...] C'est la manière de faire de Trump: prendre un événement, mentir, truquer la réalité et, surtout, s'en servir et l'adapter à des fins politiques pour que ça colle à son discours.»
Autres sujets abordés
À l'occasion de sa revue de presse, jeudi matin, Paul Arcand aborde la vaste opération de sauvetage qui est en cours à Washington après qu'un avion de la compagnie American Airlines, avec 60 passagers à bord ainsi que quatre membres d'équipage, soit entré en collision avec un hélicoptère militaire Blackhawk près de l'aéroport national Ronald Reagan.
«C'est flou, mais il semble y avoir eu un problème majeur de communication, affirme Paul Arcand. Cet hélicoptère ne devait pas se retrouver sur la trajectoire de ce vol d'American Airlines.»
Il explique que trois militaires se trouvaient à bord de l'hélicoptère impliqué, alors qu'ils effectuaient un vol d'entraînement lors de la collision.
Autres sujets traités:
À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand aborde le dossier du Journal de Montréal qui révèle que les dirigeants de la FTQ-Construction n'hésitent pas à dépenser en alcool et en nourriture avec l'argent des travailleurs.
Une bouteille de scotch à 108,25 dollars, des consommations à 55$ le verre, des repas au restaurant dépassant 2 000$... Le directeur général Éric Boisjoly a apposé sa signature sur plusieurs factures, approuvant des dépenses pour souligner les vacances d'été ou dans le cadre de réunions d'équipe.
«J'ai l'impression de revivre les grands moments de la commission Charbonneau. [...] Le Journal de Montréal nous rappelle les belles années, l'ADN de la FTQ-Construction, c'est-à-dire boire et manger avec l'argent des cotisations syndicales. [...] Ce n'est pas le montant qui jette à terre, c'est le principe.»
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