Aller au contenu
Si on s'aimait encore

Une deuxième saison chargée en émotions

Une deuxième saison chargée en émotions
Louise Sigouin / Québécor

De fortes émotions ainsi que plusieurs revirements de situation seront au rendez-vous lors de la prochaine saison de Si on s'aimait encore. Louise Sigouin était en ondes pour présenter les quatre couples qui ont participé à cette édition.

Écoutez l'intégralité de l'entrevue...

Vous aimerez aussi

Recevez le meilleur de KYK!

Ne manquez rien de l’actualité, des chroniques ou moments forts de vos animateurs et émissions préférés.

En m’abonnant, j’accepte de recevoir des communications par courriel de Cogeco Média et de ses sociétés affiliées, y compris des nouvelles, des mises à jour, des activités et des concours. Vous pouvez vous désabonner en tout temps en utilisant le lien au bas de nos courriels ou en nous contactant par le biais de notre Politique en matière de protection des renseignements personnels. Veuillez noter, cependant, que nous pouvons continuer à vous envoyer des communications liées au service et d’autres communications non commerciales. Ce site est protégé par reCAPTCHA et la politique de confidentialité de Google et les les conditions d'utilisation s'appliquent.

Dernièrement dans Le PM

« Ne devenez pas la prochaine victime! »
Encore de très mauvais sondages pour François Legault
Les témoignages se poursuivent au palais de justice de Chicoutimi
64 % des détaillants québécois font du commerce en ligne
Connectez-vous à l'histoire généalogique du Saguenay–Lac-Saint-Jean
« Je pense qu'il faut qu'il aille voir un médecin, il a un problème! »
Est-il possible de manger 100 % local ?
« La Zec va prendre en charge le déneigement jusqu'au 20 novembre »
« Fais-tu des extras ? » : 73 % des massothérapeutes harcelés
57,6 millions de dollars d'Ottawa pour l'expansion de Port Saguenay
Nissan Sentra 2026 : Nouveau look, vieux moteur.
« J'aime pas vraiment la position que j'ai eu » -Jean Tremblay
Suis-je une mauvaise personne de me foutre de la mort de mon ami ?
Devrions-nous détaxer les vêtements usagés pour enfants ?