À l'automne de 1973, une vague d'apparitions d'OVNIS déferle sur les États-Unis. Il ne se passe pas une seule journée sans que la presse ne parle de ces mystérieuses « soucoupes volantes ». Dans la soirée du 11 octobre, Charles Hickson et Calvin Parker se retrouvent sur les berges de la rivière Pascagoula (Mississippi) pour y taquiner le poisson. Vers 20 h, un objet en forme de ballon de football s'approche d'eux à faible altitude. Dans l'obscurité naissante, les hommes pensent d'abord à une voiture de police. Ils ont tort. Charles Hickson et Calvin Parker sont à la veille de vivre un cauchemar sans nom, une rencontre du 4ème type aux mains de créatures que d'aucuns n'hésitent pas à qualifier d'extraterrestres.
Dans la littérature sur les phénomènes étranges, il y a un groupe d’anomalies regroupées sous le vocable de UGM, pour « Unexplained Ground Markings », un acronyme que nous pourrions traduire par « marques inexpliquées sur le sol ». Comme le nom l’indique, il s’agit d’empreintes mystérieuses qui défient les explications rationnelles. Les amateurs de mystères les associent volontiers à des êtres fabuleux, des extraterrestres au diable, en passant par les fées et les farfadets. Objectivement, ces empreintes posent un sérieux défi à la science puisque leur interprétation repose essentiellement sur les spéculations proposées par les enquêteurs. Le « coupable » n’est jamais vu…Anomalies naturelles ou manifestations surnaturelles ?
En janvier 1988, en Georgie (États-Unis), deux adolescentes mettent les voiles d'un centre d'aide pour jeunes aux prises avec des problèmes graves. Teresa Simmons, 15 ans, et Malissa Earnest, 17 ans, comptent se rendre en Californie. Malheureusement, leur route croise bientôt celle d'un groupe de jeunes satanistes de Douglasville (Georgie). Quelques jours plus tard, le groupe ― incluant Malissa Earnest, une nouvelle adepte ― organise et exécute un sacrifice humain. L'offrande : Teresa Simmons. Ce crime va révéler au grand jour une communauté d'adorateurs du diable et leurs rituels aussi sanglants que macabres.
Dans les contreforts de l'Himalaya, au Népal, des légendes locales réfèrent à des créatures hominidées mi-hommes mi-animales. Ces créatures sont désignées sous différents vocables locaux, mais sont sous le nom de Yéti. Il faudra attendre toutefois les années 1950, et l'arrivée sur place d'alpinistes étrangers désireux de se mesurer aux plus hauts sommets, dont l'Everest, le toit du monde, pour que les légendes locales deviennent un sujet d'intérêt international. Du jour au lendemain, le Yéti devient soudainement le «monstre à la mode». Du jour au lendemain, des aventuriers se mettent en route pour ces contrées dans l'espoir de documenter ― voire capturer ― l'une de ces créatures. Même Tintin devra s'y frotter à la recherche de son ami Tchang...