Québec commence à augmenter la teneur en éthanol dans l’essence, visant 12 % d’ici 2026 et 15 % d’ici 2030, afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre.
Cette mesure pourrait entraîner une hausse des prix à long terme et causer des problèmes pour certains moteurs, notamment les voitures anciennes et petits équipements.
Comme la production locale est limitée, l’éthanol devra être importé, surtout des États-Unis, ce qui soulève des questions sur l’impact environnemental réel de la mesure.
Écoutez l'intégralité de la chronique de Samuel Tremblay-Michaud, chroniqueur automobile chez RPM, dans Le PM.