Environ un tiers des adultes québécois sont tatoués, et cette pratique, autrefois marginale, suit désormais des tendances générationnelles marquées.
Les baby-boomers optaient pour des motifs classiques et discrets ; les générations X et Y ont popularisé les tatouages tribaux, néotraditionnels et visibles ; la génération Z, elle, préfère les microtatouages fins, souvent minimalistes et discrets.
Malgré sa popularité, certains experts prédisent un essoufflement à long terme de la pratique, tandis que d’autres pointent une saturation du marché.
Le coût élevé, les regrets potentiels et un changement des priorités, surtout chez les jeunes adultes, freinent parfois le passage à l’acte.
Parallèlement, le détatouage gagne du terrain, et l’intelligence artificielle transforme la création de designs.
Écoutez la tatoueuse et propriétaire d'Addick Tattoo, Gabrielle Munger, dans Le PM.