Près de 2000 ménages pourraient se trouver sans domicile fixe le 1er juillet, selon le Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU).
Écoutez Véronique Laflamme, porte-parole du FRAPRU, brosser le portrait de cette situation préoccupante, samedi, au micro de Bénédicte Lebel.
«Il y a un appauvrissement des locataires dont il faut s'inquiéter. Ce n'est pas une vie quand 80 % de notre revenu passe au loyer. Ce qu'on déplore, c'est qu'il n'y a aucune cible de logements réellement abordables. Les prix sur le marché privé sont déjà trop élevés pour un nombre grandissant de locataires qui en sont exclus.»