Les feux de camp font partie de l'ADN des campeurs, mais sont malheureusement nocifs pour la santé de certains amateurs de plein air. Sans interdire cette activité rassembleuse, est-il possible de réduire la présence de particules fines attribuables à ceux-ci? Simon Boivin est en ondes pour répondre à la question.
Au micro de Simon Tremblay, le responsable des relations médias de la Sépaq explique avoir placé des capteurs sur le parc national du Mont-Tremblant pour avoir une meilleure idée de la dynamique du mouvement de ses particules et ainsi obtenir davantage d'informations pour les personnes à risque qui apprécient, malgré tout, le camping.
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