Plus de 22 ans après le crime, Marc-André Grenon a pu être ciblé et accusé pour le meurtre de Guylaine Potvin, une étudiante du cégep de Jonquière, en avril 2000. Mais comment la justice a-t-elle pu le retracer? Grâce au projet PatronYme, rapporte Hugo Ouellet.
Au micro de Simon Tremblay, le journaliste confirme que le témoignage de Valérie Clermont-Beaudoin, spécialiste en biologie judiciaire, avait lieu ce mardi et expliquait de quelle manière fonctionnait ce projet qui a mené à l'arrestation de M. Grenon.
« On utilise de l'ADN masculin pour établir un profil Y et c'est dans le but le donner des pistes d'enquête dans un dossier. »
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