La FIQ prétend que 83 pour cent des professionnelles en soin sont trop débordées pour prodiguer tous les soins requis aux patients.
S'appuyant sur un sondage effectué auprès de 10 mille de ses membres, ce syndicat, qui représente notamment des milliers d'infirmières, estime aussi que la surcharge de travail fait en sorte qu'il est souvent impossible d'évaluer correctement les patients ou de bien préparer le départ de l'établissement avec le patient et ses proches.
Des situations qualifiées d'inacceptables et d'inhumaines qui ne font pas exception chez les professionnelles du Saguenay-Lac-St-Jean selon Julie Bouchard, qui est présidente de la FIQ.