La pénurie d'infirmières ne doit pas forcer l'Ordre des infirmières du Québec à abaisser leurs standards toutefois, ils devront revoir l'examen et la préparation offerte.
C'est du moins ce que pense la présidente de la FIQ, Julie Bouchard questionnée sur le niveau de difficulté possiblement trop élevé de l'examen de l'ordre.
La surcharge de travail imposée aux infirmières avant l'examen pourrait expliquer en partie les résultats peu concluants.
Mme Bouchard explique que selon les candidates à la profession, l'examen n'expose pas des mises en situation toujours collées sur la réalité de chacune.