Le ministre québécois de l'Éducation, Bernard Drainville, ne prévoit pas interdire les livres sexuellement explicites dans les écoles, contrairement à l'Alberta.
Il invite toutefois les parents à signaler les ouvrages qu'ils jugeraient inappropriés à leur centre de services scolaire.
Le Québec fait confiance au jugement des professionnels du milieu scolaire et dispose déjà d’outils pour encadrer le choix des livres.
Le gouvernement albertain, lui, impose des règles plus strictes après avoir trouvé des contenus jugés inappropriés dans les bibliothèques scolaires.
Écoutez l'autrice jeunesse, Isabelle Tremblay, dans Le PM.