Des chefs autochtones dénoncent la réforme forestière du gouvernement Legault, qu’ils jugent provocatrice et menaçante pour la paix sociale.
Ils exigent la reconnaissance de leurs droits ancestraux et une cogestion des forêts. Si le dialogue échoue, ils préviennent qu’un soulèvement est possible.
Le projet de loi, perçu comme un recul, est également critiqué par la Fédération québécoise des municipalités, qui craint des conflits sociaux et un manque d’acceptabilité.
Québec promet des modifications, mais les tensions demeurent vives.
Écoutez Francis Verreault-Paul, chef de l’Assemblée des Premières Nations du Québec et du Labrador, dans Le PM.