Alors qu'ils ont la même charge de travail que leurs collègues, plusieurs travailleurs ayant une déficience intellectuelle sont sous-rémunérés pour celle-ci, dénonce la Société québécoise de la déficience intellectuelle.
Au micro de Martin-Thomas Côté, la directrice générale de la SQDI explique que pour obtenir un emploi régulier, ses personnes doivent passer par des stages, dont le salaire est moins élevé, dans des entreprises, mais que certaines d'entre elles les laissent à ce stade d'apprentissage pour éviter de les payer davantage.
« Ce que nous on dénonce, c'est qu'il y a des personnes qui restent dans ces situations-là à perpétuité... »
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