Pas moins de 90 % des membres de la Fédération autonome de l'enseignement prétendent avoir été victimes d'actes de violence d'une forme ou d'une autre dans leur milieu de travail.
La vice-présidente de la F-A-E, Catherine Renaud, rapporte qu'il n'est pas rare de voir des classes où les élèves doivent sortir une journée sur deux parce qu'un élève se désorganise.
Selon elle, cette problématique de classes entières perturbées à répétition par un seul élève est causée en partie par la politique d'intégration à tout prix sans offrir le personnel d'encadrement requis.
Écoutez Égide Royer psychologue et spécialiste de la réussite scolaire, dans le PM