Abus et sévices sexuels c'est ce qu'ont vécu six victimes, au moment mineures, lorsqu'elles ont été placées entre les mains d'une famille d'accueil de la DPJ, d'après une récente enquête du journal La Presse. Gabrielle Duchaine était en ondes pour vulgariser ce dossier.
Au micro de Martin-Thomas Côté, la journaliste dénonce les lacunes dans la surveillance qui a été faite auprès des enfants ainsi que des victimes qui n'ont d'ailleurs jamais été crus par les intervenants de la DPJ lorsqu'elles essayaient de parler des atrocités vécues dans cette maison.
« Comment ça se fait, au minimum, qu'il n'y ai pas eu quelques vérifications qui ont été faites, une enquête, ''on ne la croit pas, mais on va quand même vérifier, quand même enquêter'', ça ne semble pas avoir été fait. »
Elle mentionne que le fait que cette famille d'accueil était considérée comme un milieu «excellent» par la DPJ et que les parents développaient souvent un lien très rapproché avec les jeunes, tellement qu'ils les appelaient «maman» et «papa», laissait croire que de tels abus étaient impossibles dans cette maison.
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