L'instauration d'une présomption du consentement au don d'organes ne garantirait pas une augmentation des dons, selon le Collège des médecins. Québec Transplant propose plutôt la création d’un registre unique de consentement.
Le sujet est à l'étude en commission parlementaire à Québec, selon Martine Bouchard, directrice générale de Québec Transplant.
Au micro de Martin-Thomas Côté, elle estime qu'il faut une loi qui encadre tous les éléments du processus avec un organisme responsable.
« Vous savez, au Québec, on n'a pas de loi sur le don d'organe et la transplantation? On est en dessous du peloton, par rapport à notre performance, et on se compare avec d'autres juridictions, puis ce que je me plais à dire, c'est qu'on peut faire mieux et on doit faire mieux... »
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