Le propriétaire de la déchiqueteuse industrielle qui a, malheureusement, été utilisée lors du terrible meurtre qui a eu lieu près de Saint-Augustin-de-Desmaures, la réclame en expliquant craindre la faillite, s'il ne peut pas la récupérer, après se l'être fait saisir pour la durée de l'enquête. Me Charles Cantin était en ondes pour expliquer ce dossier.
Au micro de Simon Tremblay, l'avocat explique que le propriétaire de la compagnie d'émondage, à qui appartient la déchiqueteuse, pourra récupérer celle-ci en faisant une «requête par un tiers, en matière de biens infractionnels».
« C'est comme si un adolescent se faisait pogner avec capacités affaiblies, c'est sa quatrième balloune, mais la voiture appartient au père ou la mère. À ce moment-là, s'ils ne pensaient pas que l'adolescent était pour partir avec le véhicule automobile, ils ont le droit de demander de revendiquer le bien, qu'on pourrait qualifier de bien infractionnel... »
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