Plus de 116 000 étudiants font présentement des stages sans être payés, la plupart d'entre eux faisant des tâches assez importantes pour l'entreprise qui les ont accepté, c'est ce que nous apprend Laurence Mallette-Léonard.
Au micro de Simon Tremblay, la présidente de la Fédération étudiante collégiale du Québec affirme l'importance de rémunérer complètement les stages de type mise en action ainsi qu'en partie ceux de type acquisition, qui sont souvent plus supervisés.
« Souvent, les frais de transport sont plus importants, parce que, veux, veux pas, les stages ne se donnent pas au cégep, comme d'habitude, donc il y a certains étudiant(e)s qui sont obligés d'aller plus loin de leur domicile ou, je pense à ceux en soins hospitaliers, qui doivent avoir un uniforme pour la première fois... »
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