Le Grand Prix n'a plus sa place à Montréal, c'est ce que les lecteurs pouvaient lire dans le Journal de Montréal, ce lundi matin; un éditorial exprimant les différents effets néfastes de la Formule 1 dans la ville, dont la pollution. Louis-Philippe Guy a profité de sa chronique pour démystifier certains clichés de l'article.
Au micro de Dominick Fortin, le chroniqueur explique que plusieurs changements ont été apportés pour rendre les Grand Prix de Formule 1 plus écoresponsables, dont notamment le changement hybride des bolides en 2014 et le retrait du ravitaillement, il y a encore plus longtemps.
« Lors d'une course, tu ne peux pas dépenser davantage d'essence pour aller plus vite, parce que tu n'auras pas la possibilité de faire le plein avant la fin de la course. »
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