En pleine session d'examens, plusieurs étudiants se permettent d'utiliser ChatGPT pour bonifier leurs documents. Est-ce de la triche ou un moyen d'aider les élèves? Jocelyn Maclure était en ondes pour expliquer la situation.
Au micro de Richard Courchesne, le président de la Commission de l'éthique en science et en technologie explique que plusieurs de choses sont encore à découvrir sur cette intelligence et son lien avec l'enseignement. C'est pour cette raison que l'équipe a créé un comité d'experts qui vont mener des travaux de réflexions, de consultations et d'analyses autour de l'utilisation de ChatGPT.
« Tout le monde en parle et il y a une espèce de détresse qui s'exprime tant par les enseignants que par la haute direction des universités ou des cégeps. On ne sait pas très bien comment encadrer l'utilisation de ces outils-là, parce que, maintenant, ce qui est de nouveau c'est qu'on y a tous accès, gratuitement... »
M Maclure affirme d'ailleurs que deux moyens de penser se bousculent auprès des enseignants; certains sont très optimistes envers cette intelligence artificielle, alors que d'autres la voient comme une malédiction.
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