Le Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec dévoile les résultats d’un sondage effectué auprès de ses membres œuvrant dans les centres de gestion des appels de la Sûreté du Québec (SQ).
Un peu plus de 85 % des personnes préposées aux télécommunications constatent une hausse de leur charge de travail au cours de la dernière année.
La hausse des appels de détresse, liés à la santé mentale ou à des situations de violence complexifie le travail des préposées, ainsi que la formation d’employées en raison du taux de roulement très élevé.
Près de la moitié des personnes répondantes signalent qu’au cours de la dernière année, leur centre d'appel a été confronté à un bris ou à une interruption de services en raison du manque de personnel.
Le basculement des appels occasionne également des difficultés supplémentaires en matière de prise en charge à cause d’un manque de connaissance du territoire.