Si Jean Charest avait été premier ministre, il se serait positionné en faveur du projet GNL Québec selon ses dires sur nos ondes ce matin.
Pour qu’un projet comme celui-ci fonctionne, il est nécessaire selon lui, que le premier ministre fasse preuve de leadership.
Il explique qu’il s’agit d’une bonne occasion ratée de devenir une alternative à la Russie pour le marché européen.
Tout en respectant le BAPE, Jean Charest aurait quant-à-lui modifié le projet, plutôt que de l’abandonner complètement.