Le 7 novembre 1990, des personnes réunies sur la terrasse de l’hôtel Hilton-Bonaventure, au centre-ville de Montréal, observent dans le ciel une étrange couronne composée de 7 ou 8 lumières ambre. Dans les jours qui suivent, l’histoire de « l’OVNI de Montréal » est sur toutes les lèvres. Si certains supposent de vulgaires reflets sur les nuages, d’autres n’hésitent pas à parler de visiteurs extraterrestres. Puis, deux ans plus tard, lorsqu’un rapport officieux vient confirmer la nature exotique du phénomène, l’incident passe du simple fait-divers local à celui d’événement national. La métropole québécoise a-t-elle réellement été le théâtre de l’une des plus sensationnelles apparitions d’OVNI de tous les temps ?
En 1995, la petite communauté de La Ronge, en Saskatchewan (Canada), a été le théâtre d'un crime monstrueux. Un enfant a été assassiné et mutilé de manière rituelle. L'assassin, Sandy Charles, un adolescent du village, a vite été appréhendé. Interrogé par les autorités de la GRC, il a vite admis sa responsabilité. Mais les enquêteurs n'étaient pas au bout de leurs surprises. Selon Sandy Charles, son crime s'inscrivait dans un processus magico-religieux inspiré d'un film d'horreur populaire. Sandy Charles rêvait de devenir le plus puissant des sorciers : un Warlock.
À en croire la littérature, les lieux de «grandes souffrances» seraient des terreaux fertiles aux apparitions spectrales et autres hantises. On parle ici d'hôpitaux, d'asiles psychiatriques et, bien sûr, de pénitenciers. Certains de ces lieux sont devenus des rendez-vous incontournables pour les «chasseurs de fantômes», qu'on pense a l'ancien asile de Ste-Clotilde-de-Horton, au Québec, ou à l'hôpital psychiatrique de Pennhurst, en Pennsylvanie (États-Unis). Certains de ces explorateurs de l'invisible en seraient revenus avec des photographies, des films et des enregistrements audio étranges et inexplicables. Ces lieux sont-ils réellement des «trappes à fantômes» ? Et que valent les recherches menées par les chasseurs de fantômes ? Ce qu'ils présentent comme des preuves de manifestations de l'au-delà en sont-elles réellement ?