Le chômage touche particulièrement les jeunes hommes universitaires (11,4 %), un taux bien plus élevé que celui des femmes diplômées (6,6 %).
Cette disparité est due à la concentration des nouveaux emplois dans des secteurs féminisés (santé, éducation).
L'avantage salarial des diplômes universitaires ayant également diminué, les jeunes hommes pourraient être moins motivés à poursuivre des études, car des postes moins qualifiés offrent désormais de meilleurs salaires.
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