Le projet de loi pour rendre le consentement présumé obligatoire au Québec ne serait pas la solution pour régler le problème du manque de dons d'organe, selon Maria Mourani. Elle était en ondes pour expliquer son point de vue.
« Ceux qui l'ont implanté, il y a plusieurs pays, comme la Suède, la Pologne, la France même, en 1976, donc c'est quand même vieux, n'ont pas vu, grâce à cette disposition-là, d'augmentation de greffes significative. »
Au micro de Simon Tremblay, elle affirme qu'il ne manque pas de donneurs dans la province et qu'il faudrait plutôt revoir la structure des hôpitaux pour détecter plus rapidement le donneur qui se trouve en fin de vie.
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